Publibook, 2013
(disponible en version papier,
et en version PDF)
Préface, d'Henri Cambon
La poésie de Bernard Marcotte, par Paul Tuffrau
Poèmes divers
Idéalistes et Bouffons
I. L'antiquité
II. Le Moyen Age
III. La geste de Don Quichotte
La ronde de nuit
1. Les Transfigurés
2. Le Pont-Neuf à l'aube
3. La prière à la ville
4. Le bras de Seine de la rive gauche - Le Luxembourg
Soirs et nuits dans Paris
Aux écluses (derrière le Pont-Neuf)
Nocturne
Une nuit... (fragment)
L'asile de nuit
Les vagabonds
Prologue légendaire
Les vagabonds en marche vers Paris
Les vagabonds découvrent Paris
Notre-Dame des Halles
La mort des vagabonds
Sur d'autres vagabonds
Un vagabond (ébauche)
Prière du vagabond - Panem quotidianum da nobis
Autour du village
Midi : le chant de la joie
Promenade (ébauche)
Ormuzd et Ahrimane (ébauche)
Sur des thèmes antiques
Le chant d'Orphée
A Pharos
Les heures d'Amymone
Musique marine
Chanson des îles
Un ami de Paul Tuffrau, l'écrivain, poète, Georges Pancol, notait dans son journal le 28 janvier 1911 (Georges Pancol, Poèmes - Journal - Lettres, Préface de Paul Tuffrau, Paris, éditions Sansot, R. Chiberre éditeur, 1923) :
Jeudi dernier je suis allé voir Tuffrau. J’ai trouvé Marcotte avec lui, un visage assez maigre, une moustache blonde tirant sur le roux, des yeux brillants et sensitifs, des manières simples. Il nous a lu des pièces que Tuffrau avait déjà entendues, mais que je connaissais pas : « Le chant d'Orphée », un morceau admirable de pensée et de forme, une inspiration magnifique, de larges vers grecs qui s'envolent lentement, superbement, harmonieusement. S'il y a quelqu'un au monde qui dût être sûr de son génie, c'est bien lui, et, naturellement, comme tous, il doit douter et souffrir. L'autre morceau que j'ai entendu, « Le Crépuscule », est également admirable, plus philosophique et aussi poétique que l'autre.